J’ai insisté dans l’un de mes derniers billets sur l’importance à travailler son image : « Si vous ne la travaillez pas vous-même, ce sont les autres qui vous en colleront une ». Pour les sceptiques, voici une illustration par l’opposé de l’intérêt de la démarche proposée.
mai 2010
S’enterrer ou sortir du lot ?
Les temps s’annoncent durs, les recrutements se font rares, les hausses de salaires aussi. Vous avez le choix entre vous faire discret ou sortir du lot. Si vous choisissez cette seconde solution, comment tirer le meilleur parti de vos atouts dans l’environnement actuel ?
Hier assis, demain couché avec un mal de dos ou… debout ?
Savez-vous que la lombalgie est la première cause d’invalidité chez les moins de 45 ans ? A côté de celles accidentelles (chute, glissade…), il y a de nombreuses autres causes de survenue progressive : nous passons de longues heures dans des bureaux ou des open spaces, nous nous déplaçons en voiture, métro ou ascenseur, nous échangeons avec nos clients, collègues ou fournisseurs debout ou assis. Mais prenons-nous soin de nous ?
Comment favoriser un grand changement (pour vous ou votre organisation) ?
Vous pouvez être tenté de provoquer des changements au sein de votre organisation ou de votre carrière professionnelle, tout en vous sentant limité aux entournures : « je ne suis pas le décideur, et si je l’étais, je ne suis pas seul ! ». Si nous regardons notre environnement, il est clair que les personnes capables à elles seules de générer de grands changements sont rares (seuls les médias sont pleins de vrais faux héros de ce style) et dans tous les cas, cela prend du temps. Sommes-nous pour autant réduit à ne rien faire (ou à très petite échelle) ?
Personal branding : le retour du rasoir d’Occam
Le rasoir d’Occam (ou d’Ockham) est un principe de raisonnement que l’on attribue au franciscain philosophe Guillaume d’Ockham (XIVème siècle), même s’il était connu et formulé avant lui : « les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité ». Quel intérêt dans un monde complexe ?