Si les médias aujourd’hui parle beaucoup du burn out (et de sa passible reconnaissance comme maladie professionnelle », de nombreux livres abordent le sujet sous l’angle du burn out parental.
Sur Slate, Louise Tourret* analyse cette situation. Elle interviewe ainsi Moïra Mikolajczak qui a étudié le sujet et qui lui explique que ce burn-out parental atteint toutes les couches de la société et encore davantage les catégories diplômées : «Lors de notre étude, plus les parents qui avaient fait le plus d’années d’études plus ils étaient sujets au burn-out parental. Il est apparu qu’au niveau personnel, ce qui rendait les personnes vulnérables, c’est de vouloir être un parent parfait et d’être perfectionniste en général. » Lire la suite